C’est justement arrive a plusieurs reprises recemment, alors que J’me trouvais a Vancouver.
Contrairement a ce que vous entendez ou a ce que vous devoile la petite voix interieure, il n’y a aucune honte a passer a autre chose. Je me souviens d’un long message publie sur le forum Versatile PhD avec PJ, 1 doctorant qui en etait a l’etape de redaction de sa these et qui envisageait d’abandonner plutot que de consacrer encore 2 ans (au minimum) a son doctorat. Un participant au forum lui a repondu ce qui suit : « La veritable question reste de savoir si vous voulez etre un lacheur. Tous ne voient pas la chose d’la meme facon, et plusieurs diront que ce n’est parce qu’on ne termine nullement un doctorat qu’on reste votre lacheur, mais c’est pourtant la situation. » Heureusement, les autres reponses etaient plus nuancees et proposaient des pistes de reflexion et des conseils indispensables. « Vouloir terminer a tout tarifs n’est pas une fin en soi, soulignait 1 ancien professeur permanent. Si votre seule motivation reste de finir ce doctorat, les prochaines annees s’annoncent longues. » Et y avait beaucoup raison.
Avant de prendre une decision, faites la distinction entre votre que vous devoile votre petite voix interieure – qui repete sans doute les critiques que vous entendez dans votre entourage – cela que vous pensez etre le meilleur tri Afin de vous.
Faites confiance a votre instinct. Selon notre experience, c’est une decision qui change au fil du temps. J’ai travaille avec des clients qui envisageaient de ne point terminer leur doctorat. Alors que vous etes en reflexion, c’est pleinement legitime d’etre hesitant ainsi que poursuivre vos travaux bien en installant peu a peu une distance psychologique et emotionnelle. Quels sont ces objectifs? Une fois que vous les avez etablis, determinez Notre excellente strategie pour des atteindre (en suivant les conseils de Harvey P. Weingarten dans le recent article.)
L’idee en fonction de laquelle « personne n’aime nos lacheurs », qui circule au sein des facultes d’etudes superieures, voire au milieu universitaire, n’est pas justifiee. Obtenir un doctorat n’est ni bon ni mauvais en soi. C’est une agreable decision juste si c’est une bonne decision Afin de vous. Ceux qui decident de renoncer au grade sont les seuls arbitres de leurs motivations; le reste de l’univers s’en fiche souvent. Cela reste interessant de mentionner que via le forum de PJ, les professeurs au premier cycle leur conseillaient unanimement d’abandonner. Je laisse a votre sujet le professeur d’anglais (et superviseur de theses) Leonard Cassuto s’exprimer au nom des superviseurs dignes de votre nom : « bon nombre de etudiants que je supervise terminent un these et obtiennent un emploi. J’suis fier d’eux. Divers decident malgre tout d’abandonner, et je n’en suis jamais moins fier (Graduate School Mess, p. 121). Je ressens J’ai meme fierte envers faire mes clients, quel que soit la voie qu’ils choisissent.
Il existe quelque moment, Christine Slocum a fait une reflexion via le parcours professionnel dans un texte d’la serie Transition Q & A. Elle a obtenu une maitrise puis fait deux ans de doctorat avant de bien laisser tomber. Dans le article, cette dernii?re explique les diverses raisons qui ont motive son conseil, dont 1 sentiment d’epuisement, le manque de solidarite dans son departement et le desir de fonder une famille. L’obtention d’un doctorat ne concordait plus avec ses objectifs : « Apres une profonde reflexion, J’me suis souvenue que ma motivation toute premiere a faire des etudes en sociologie etait de mieux comprendre les mecanismes de stratification sociale pour mieux connaitre comment les demanteler. Apres quatre ans d’etudes superieures, j’ai eu l’impression que les 5 annees suivantes seraient plus investies a bosser Afin de une ONG, un organisme a but non lucratif ou le gouvernement afin d’acquerir de l’experience fonctionnel. »
Heather Steel a pris une decision semblable lorsqu’elle a choisi de tout arreter pendant la redaction de sa these. Ses etudes superieures lui ont permis de mieux se connaitre. « Certains aspects du programme d’etudes me plaisaient bon nombre, comme nos lei§ons, les lectures et la reflexion, l’enseignement et faire mes collegues. Au final, j’ai cependant compris que de rester assise pendant des heures devant un lecteur de microfilms pour rediger une these qu’a peu pres personne ne lirait n’avait rien d’epanouissant. » Heather a ainsi decouvert qu’elle aimait « J’ai recherche a petites doses, mais nullement des projets qui prennent des annees avant de produire des resultats ». Quand j’ai fera une entrevue exploratoire avec elle pour la serie Transition Q & A, j’ai appris qu’elle ne regrettait gui?re ses choix, et sa carriere progresse beaucoup depuis.
Alors que j’etais a Vancouver, votre etudiant a toutes les cycles superieurs qui assistait a une de mes conferences a fera un temoignage : il a abandonne des etudes doctorales il y a de multiples annees, et le voila aujourd’hui inscrit a un nouvelle programme de doctorat! Cela a presque termine et, cette fois, il sait qu’il est a sa place. Je connais diverses individus ayant fait comme lui, Afin de differentes raisons. Fascinant, n’est-ce gui?re?
Si vous croyez que de terminer la doctorat est la belle chose a Realiser, continuez. Allez chercher de l’aide et du soutien, faites-le a moment partiel, prenez une pause ou 1 conge autorise Afin de repasser en force. Faites bien votre qu’il faudrait pour vous faciliter l’existence. Si, au contraire, votre projet de doctorat a perdu le sens – toutes vos objectifs ont change, vous en tagged rencontre gratuit avez appris plus via vous-meme au fil des ans –, j’appuie votre decision d’y mettre fin. Vous ne lachez pas, vous empruntez une nouvelle voie qui vous convient mieux en vous appuyant via vos apprentissages et les experiences et en les appliquant dans un contexte mieux qui convient a la personnalite, a votre facon de bosser et a toutes vos objectifs. C’est un choix risque et courageux, mais c’est aussi une facon de vous respecter, votre que je n’ai jamais reussi a Realiser avant la fin de mon doctorat. Ne faites pas la aussi erreur que moi.